Gaz de Brown & Ondes Scalaires à Hyères

• L’hydrogène est capable de neutraliser les radicaux libres, en particuliers les radicaux hydroxyles,

• L’hydrogène moléculaire peut facilement pénétrer des zones subcellulaires ce qui protège l’ADN, l’ARN et les protéines des radicaux libres et ainsi du stress oxydatif qui est l’un des facteurs importants de nos maladies des temps modernes.

• L’hydrogène moléculaire déclenche respectivement une activation et une régulation positive d’enzymes anti-oxydantes supplémentaires propres à l’organisme.

• L’hydrogène moléculaire agit à la manière d’une nouvelle molécule de signalisation. Cette signalisation stimule et soutient l’ensemble du métabolisme cellulaire, elle peut modifier le métabolisme cellulaire et l’expression des gènes qui induit un effet anti-inflammatoire, antiallergique et possède une action particulièrement protectrice envers les processus immunitaires.

De façon simpliste, on peut dire que la Vie est constituée d’oxydation et de réduction et tant que l’équilibre entre les deux n’est pas rompu, nous sommes et restons en bonne santé…

L’hydrogène est omniprésent dans l’Univers. Il représente 75% de la masse totale du système Solaire, 14 fois plus léger que l’air… C’est la molécule la plus petite du tableau de Mendeleïv, si petite qu’elle peut passer la barrière hémato-encéphalique.

L’hydrogène, énergie pure, est un produit naturel et bio-disponible. C’est un antioxydant à action sélective unique qui ne neutralise que les radicaux libres néfastes pouvant provoquer des inflammations et dégâts à l’ADN en conduisant à des maladies chroniques… L’hydrogène est le seul antioxydant qui ne devient pas pro-oxydant après utilisation.

L’oxygène est un gaz oxydant majeur, une oxygénothérapie sur un terrain déjà oxydé (atteinte virale par exemple) peut ne pas être une solution judicieuse. Dans les atteintes virales il faut donner des réducteurs.

La médecine académique traite majoritairement des symptômes et rarement la racine du mal. Or, la mitochondrie est justement l’une de ces racines, ce qui permet à l’HydrOxy-thérapie d’avoir une action très large sur beaucoup de pathologies différentes. Beaucoup de médicaments dont les psychotropes et antalgiques peuvent causer des dommages aux mitochondries (dans les cancers, jusqu'à 70% des mitochondries sont détruites ou épuisées).

La santé n’est pas un processus linéaire. Elle nécessite l’équilibre d’un ensemble d’éléments à appréhender de manière globale, en résonance avec la fondamentale énergétique, l’univers physique, psychique (émotionnel/mental) et spirituel que le CRAE s’engage à honorer dans son éventail d’activités.

Dans le monde post COVID, le gaz hydrogène bu et/ou inhalé va devenir à n’en pas douter, un véritable outil de choix pour les médecins et les thérapeutes prenant en charge les COVID longs ou encore les syndromes de fatigue chronique post-vaccinaux.

Les personnes qui ont été confrontées au virus ou bien celles qui ont reçu les injections d’ARNm anti-Sarscov2, à cause de la protéine spike produite en grandes quantités et des adjuvants, sont des personnes inflammatoires aiguës, puis chroniques. Elles s’oxydent donc très vite, c’est-à-dire qu’elles perdent l’activité électronique.

Nous avions initié l’étude du gaz de Brown pour son intérêt majeur en oncologie et dans le traitement des maladies neuro-dégénératives, mais l’actualité fait que la demande principale à ce jour se réalise dans le domaine des affections respiratoires et du COVID.

De plus, ces injections d’ARNm contiennent des particules de nanographène, sous la forme d’un oxyde qui est lui aussi très oxydant. Le mélange gazeux à base d’hydrogène, à l’inverse très réducteur, devient alors à lui seul réellement salvateur ; et le graphène ainsi réduit devient soluble dans l’eau, puis éliminé par les reins !